FIRST – Comme un parfum de Noël

Ce soir nous sommes le 23 décembre, nous sommes tous revenus dans notre ville d’enfance pour les fêtes. Mauricien comme lorsque nous étions adolescents, nous a tous invités pour une petite fête de pré noël entre amis dans le domaine de ses parents. J’adorai déjà ce moment à l’époque, avant que chacun retrouve sa famille. Cette année, certains n’en rejoindront pas. Quarantenaires fraîchement séparés avec enfants en alternance, beaucoup se retrouvent en solo.

Parmi les amis présents, il y a les vieilles branches, les amis de toujours, devenus nos frères et sœurs, ceux qui seront toujours là. Il y a aussi les pièces rapportées. L’année 2023 a été chargée en séparations et certains ont besoin de se créer de nouveaux horizons.

C’est le cas de Virginie, 41 ans, 1,70m, une très belle blonde, un très beau sourire et elle le sait. On la remarque tout de suite, au delà de son joli minois, son aura rempli la pièce jointe. Pour ma part je suis fasciné comme un gros pervers par ses 2 petits tétons qui pointent en permanence malgré la chaleur qu’il fait dans la pièce. Elle ne porte pas de soutien gorge et ses seins libres se balancent à chacun de ses mouvements sous son petit haut. Je l’imagine ressentir beaucoup de plaisir par la douceur du cachemir qui lui caressent ses seins. En tout cas, s’en est un pour mes yeux. Nous sommes une bonne dizaine de personnes, assises dans le salon près de la cheminée, je suis en face d’elle, elle me regarde à peine, nous ne nous connaissons pas. Je tente quelques blagues comme à mon habitude qui ravissent mon auditoire et je la sens plutôt réceptive. Ça me met en confiance. Les premières bulles de champagne commencent à faire pétiller les yeux et à délier les langues. Elle propose à l’assemblée de passer quelque chose de plus féroce. Elle se lève pour rejoindre la cuisine, je découvre avec intérêt, ses jambes mises en valeurs par un collant en résilles lui donnant un côté encore plus sexy qu’elle ne l’était déjà. Je succombe. Combien de fois j’ai été excité pour ces porno en ligne et ces bimbos en résille de la tête au pied. Whooo doucement je commence à calquer des images très coquines sur cette jolie fille qui n’a rien demandé. Elle passe devant moi, et tenant mon verre vide à la main je fais mine de me redresser et lui effleure la sienne. Je m’excuse et lui propose de venir l’aider. Avant de me relever et de la suivre, je prends le temps d’humer son parfum qui vagabonde derrière elle. Je me fais rire. Le pervers en moi se transforme en psychopathe. Je lui emboite le pas, et je reste dans son sillage assez proche comme aspiré par cette fragrance enivrante. Dans ma tête tout commence à sembaler. Je ne suis pas un dragueur du tout, je me sens à l’aise, mais comment engager une conversation avec elle qui ressemble plus à de la drague que de la politesse. Comment lui faire comprendre que je suis totalement charmé. Quelle partition dois-je jouer. J’aurais envie de lui croquer la nuque en lui prenant la taille d’un bras, de lui coller ma queue au creux de ses fesses. Mais cette pensée me semble plus que folle. Est-ce une bonne idée de finir l’année avec un #meeto ? Nous nous retrouvons l’un à côté de l’autre, elle commence à préparer des cocktails. Je n’y connais rien. J’entame la conversation de manière bateau : quel alcool ? Quelles proportions ? Des banalités, … Je me sens nul. Je la regarde faire. Je lui propose de l’assister. Elle m’invite à piler des glaçons pendant qu’elle découpe en rondelle des citrons verts. Elle fait une blague sur la vigueur que je mets à manier le pilon en bois. Elle est très drôle. Elle me fait rire. J’adore. Une nana qui fait des blagues de cul en toute décontraction c’est cool. Mais voilà, je ne sais pas interpréter ce genre de chose, ce n’est qu’une blague non ? Rien de plus ? Calme toi gros pervers. Je regarde ses mains et ses doigts fins s’agiter. Sa lame dérape et un jet de sang rouge vif tranche sur le vert des citrons. Scrutant chacun de ses mouvements je m’en aperçois avant même que la douleur s’empare de son index. Je lui prends la main et porte sa blessure à ma bouche et je commence à lui sucer la plaie. Elle est totalement décontenancée par ce réflexe un peu bizarre. Moi même je ne comprends pas trop. Mais j’ai son doigt en bouche et je le suce… Elle se met à rire. Cette situation insolite amorce entre nous un début de complicité. Tout se détend. Mon esprit pervers m’imagine lui sucer bien plus que son doigt. Je ne fais aucune réflexion. Mais si nous étions deux à y penser. Je lui propose de me suivre à l’étage se trouve la salle de bain car il est nécessaire de la panser. Elle décide de passer devant moi, et nous montons les escaliers. J’ai son petit cul à hauteur de ma tête et elle le sait. Elle se dandine, elle force c’est sûr, pas trop, mais juste assez pour que ses courbes et son cul m’excitent. Nous arrivons en haut, et l’envie de la serrer contre moi me revient.

Nous nous dirigeons dans le noir vers la salle de bain. Elle se place devant le lavabo et se contemple dans le miroir qui le surplombe, comme pour vérifier la perfection de sa jolie peau qui paraît si douce. Je suis juste derrière elle, passant mes bras autour d’elle, j’ouvre le placard caché derrière le miroir et cherche une boîte de sparadrap en vain. Seul le violet vulgaire d’une boîte de préservatifs attire nos regards. Je la prends en lui expliquant que je vais réussir à bricoler un pansement avec. Cela la fait rire. Je suis toujours derrière elle. Elle me saisit mon autre main et porte mon index à sa bouche qu’elle commence à sucer à son tour. Sommes-nous quitte ? Mais elle ne s’arrête pas. Elle garde mon doigt en bouche, et enroule sa langue autour tout en effectuant une petite succion. Mon désir partant de la pulpe de mon doigt se répand dans tout mon corps, traverse mes entrailles qui se tendent et atteint ma queue qui se met à gonfler instantanément. Je bascule quelques centimètres en avant pour lui témoigner mon excitation. Elle n’en a pas besoin. Elle sait très bien ce qu’elle fait. Je suis subjugué par le naturel qu’elle a. Je me laisse porter. Je constate que je me retrouve dans la situation que j’imagine depuis le début. Je pose la boite de préservatif sur le rebord du lavabo, et dégage sa nuque pour y déposer mes lèvres. Elle fait tomber sa tête de l’autre côté comme pour me donner l’autorisation. Elle ferme les yeux et se laisse partir. Il n’y a plus d’erreur dans les interprétations, elle me laisse faire, ça veut dire, vas-y, bouffe moi. Elle ne dit rien, sa respiration se fait plus forte et fait vibrer des cordes vocales comme un ronronnement de satisfaction. Je sens son odeur au plus proche. Ce n’est pas un parfum c’est son odeur. Sa peau est douce et fine. J’ai tellement de plaisir à la dévorer. Les lèvres glissent sur sa peau. J’ouvre ma bouche pour commencer à la mordiller. J’entoure de mon bras son bas ventre et remonte ma main vers sa poitrine, je la saisis fermement et la malaxe de manière à faire glisser ses tétons vers mes doigts que je commence à pincer. Elle aime ça. Elle se cambre et insiste pour presser encore plus ma queue dans la raie de ses fesses. Je retire enfin mes doigts de sa bouche et les dirige vers son sexe. Je ressens la chaleur de sa petite chatte irradier, je peux ressentir l’humidité à travers sa jupe et ses résilles.

D’une main ses seins que je serre, de l’autre sa chatte que je commence à frotter de plus en plus fort. Elle se tortille et attrape le lavabo de ses deux mains tout en écartant ses jambes. Je remonte sa jupe au-dessus de ses hanches. Je commence à avoir la queue bien trop dure et gonflée pour rester dans mon pantalon. Je décide de la libérer. Au son de ma boucle de ceinture qui tinte, elle passe sa main dans son dos et attrape ma queue à pleine main, elle la palpe comme pour la découvrir. Elle descend jusqu’à mes couilles qu’elle fait rouler au creux de sa main, avant de revenir serrer mon gland. Elle vient cracher dans sa main pour l’humidifier et commence à me branler. Ma queue est dure comme jamais. Je passe ma main directement dans son collant, je constate qu’elle ne porte pas de culotte. Et le contact de ma main directement sur son clitoris déjà gonflé lui fait pencher la tête en avant et pousser un petit cri. Je suis excité comme une bête. Tout chez elle me rend fou. Sa petite chatte et ses seins totalement libres, son odeur, sa mouille se répand désormais le long de ses cuisses. Je lui craque son collant au niveau de sa vulve et l’invite à se pencher encore plus. Elle repose ses avant bras sur le lavabo, son cul est désormais en bombe et je vois sa petite chatte toute rose s’offrir entre ses cuisses. Je m’accroupis et commence à donner des petits coups de langue suffisamment fort pour écarter les petits ronflements de ses lèvres. Je goutte le goût de son sexe, humm son odeur, c’est la sienne, c’est l’odeur qui m’obsède depuis le salon. Elle m’enivre totalement. Je sors une énorme langue qui cherche désormais à rentrer au plus profond d’elle et atteindre son clitoris, j’enfonce mon visage au plein dans sa vulve, et cherche à suçoter ce clitoris qui se fait de plus en plus gros. Sa cyprine me coule jusqu’au menton. Elle gémit de plus en plus fort. Je bande comme un fou. Je commence à me branler alors que ma langue passe maintenant de son clitoris à son anus de manière ample et langoureuse. Je sens que ça la rend folle. D’un coup elle se redresse et me pousse doucement pour que je m’allonge sur le dos. La froideur du carrelage n’a aucun impact sur mon excitation. Elle est débout au-dessus de moi et me regarde droit dans les yeux. Elle s’avance un peu de manière à ce que sa petite chatte se retrouve juste au-dessus de mon visage. Elle place ses mains à l’entrée et commence à l’écarter entièrement, je vois son vagin s’ouvrir sous mes yeux. Avec un doigts qu’elle pose sur son clitoris, elle commence à faire des mouvements circulaires tout autour. Avec deux doigts de côté elle commence à les rentrer en elle et s’écarte encore plus. Je vois ce petit clitoris rose se tortiller au dessus de chatte qui s’ouvre de plus en plus. Elle recule un peu et s’accroupit en s’empalant sur ma queue, ses doigts toujours en elle. La pression qu’exerce ses doigts sur ma queue et en elle est énorme. Mon gland glisse parfaitement. Elle commence à me baiser de plus en plus. Je vois ses seins se balancer sous son cachemir. Je veux les lecher. Elle ne me lâche pas du regard et vois que je succombe à cette idée. Elle retire alors ses doigts de petite chatte, je sens enfin la douceur de sa vulve se resserrer sur ma queue. Elle enlève son haut, et laisse apparaître une poitrine magnifique avec ces tétons tellement durs. Croyant que je peux enfin les mettre dans ma bouche et me mettre à les téter, elle m’attrape les bras et me les plaque au-dessus de ma tête. Son bassin fait toujours des mouvements de vas-et-vient sur ma queue. J’ai maintenant ses seins juste au-dessus de ma tête. Elle me domine totalement, je suis à sa mercie. C’est elle qui mène la danse. Elle s’amuse à déposer un téton juste sur ma bouche, que j’ouvre pour le faire rentrer, mais elle le retire rapidement et refait la même chose avec le second. Pour rester le plus longtemps en contact je sors ma langue et commence à faire des petits cercles tout autour, je constate que ça lui plait énormément, elle me laisse jouer avec. Ma langue humide sent ce téton durcir encore, d’un mouvement de tête rapide, je l’attrape avec mes dents et le mordille, elle pour à cri et se cabre, ce qui donne une impulsion sur les mouvements qu’elle effectuait sur ma queue. Je n’en peux plus, je veux la finir. Je veux la faire jouir. Je décide de me dégager les bras. Elle me laisse faire. C’est à elle de connaître le contact du froid avec le carrelage. Je me redresse complètement, elle est restée accroupie, ma queue bien droite et dure est à hauteur de sa tête. Je la baisse pour que mon gland soit juste en face de la bouche, elle me regarde toujours droit dans les yeux. Elle tire sa petite langue, et entrouvre sa bouche, j’enfonce doucement mais profondément ma queue. Elle me montre qu’elle aime ça, se faire baiser la bouche. Elle laisse ma queue s’enfoncer, et du bout de sa langue me lèche les couilles. Elle fait un mouvement de tête pour se dégager et un énorme filet de bave coule le long de ses seins, elle me saisit alors les fesses, et s’empale d’elle-même sur ma queue. Elle recommence et un nouveau filet de bave dégouline. Ses seins sont plein de bave. Je suis tellement excitée, je suis à deux doigts de lui jouir sur le visage. Mais je veux la baiser. Je veux la faire jouir. Je l’attrape pour le cou, et la force à se relever. Nous nous regardons toujours dans les yeux. Je lui bouffe la bouche alors qu’elle bave toujours. Je la replace face au miroir devant le lavabo. Je lui attrape son cul des deux mains et lui enfile ma queue de manière vigoureuse bien au fond, nous nous regardons dans le miroir. Elle est rouge de plaisir. Je la ramone de plus en plus fort. Ses jambes tremblent. Je deviens fou et l’agrippe de plus en plus fort pour que son cul tappe mon bas ventre. Je sens le fond de son vagin avec ma queue. Je vais jouir, je lui susurre à l’oreille. Elle me demande de résister encore un peu. Ses jambes se tendent et je sens sa chatte se serrer d’un coup. Elle se cambre et pousse un cri de soulagement. Je suis à 2 doigts de venir. Elle calme sa jouissance en un instant, se dégage pour que je ne jouisse pas en elle et commence à me branler fort, elle me regarde dans les yeux et me décharge mon sperme chaud sur ses seins. Ma queue palpite de jouissance et les jets de sperme ne s’arrêtent plus de lui couler dessus. Tout en continuant à me branler elle porte mon gland à sa bouche pour aspirer les derniers jets. Elle se relève et nous nous embrassons follement. Nous nous rhabillons le sourire aux lèvres en espérant avoir été les plus discrets vis-à-vis de nos potes, bien que sur le moment c’était le cadet de nos soucis. Nous avons regagné la cuisine, avons fini les cocktails et dans le sillage de son parfum nous sommes retournés à nos places. Plus qu’elle existe dans cette pièce. Je suis ailleurs, presque sourd. Je ne sens plus qu’elle son parfum sur mes lèvres, dans mon cou, je suis enivré, drogué à jamais.

skully

23/01/2024
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23 janvier 2024 à 17h21

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23 janvier 2024 à 13h26

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23 janvier 2024 à 13h22

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23 janvier 2024 à 13h25